La jungle, cet univers était inconnu pour le jeune homme. Jonathan avait apssé sa vie a New York, dans les buildings et le béton. Comble de tout cela, lors que beaucoup de monde s'en plaignait et voulait s'en éloigner, lui s'y sentait dans son habitat naturel. En fait, si il avait vécu dans la jungle, mais la jungle urbaine. Cette expression n'est pas du tout métaphorique dans les rue de New York. Prenons un exemple simple bete et concret que l'on peut trouver partout: les automobilistes passaient d el'état de singe au volant, a celui de lion quand ils avaient un accident. Voila a quoi était habitué le jeune homme, aux bruits de la ville, des véhicules, des cliquetis des pas des passants dans les rues, du brouhaha quotidien. Pas du calme d'une ile habitée par un petit nombre d'entre eux. Des privilégies.
Bref, une prmenade en foret ne lui ferait pas de mal. Non rectification, une promenade en pleine jungle. Cela n'avait rien a voir avec la visite d'un zoo car ici les animaux étaient en totale liberté. Le genre de liberté chiante car ils pouvaient vous dévorere, enfin ce n'était qu'une partie de l'iceberg.
Le jeune homme s'était longuement questionner quand a la tenue adéquate a porter. Il reviendrait surement couvert de boue, doué comme il l'était. Il passa un espece de bermuda, un gilet a imprimé anglais, le drapeau de la reine s'il vous plait, et des asics neuve qu'il s'était procuré sur l'ile. Rien a voir avec le look dandy qu'il arburait habituellement, mais il avait tout de meme mit plus d'une demie heure a trouver quoi metre. Et en avant l'aventure!
Il marchait alors, dix mnutes plus tard dans les bois, enfin dans les bois qui s'avéraient être aussi denses que la forete équtoriale. Vingts minutes plus tard, il était en quelque sorte perdu. Au fond d elui même, il le savait et dans son esprit resonnait le mot merde. A cinquante metre devant lui, il appercut quelqu'un. Il se mit a courir, mettant en pratique les cours de saut d'obstacle qui ne lui avaient jamais servit a rien.Il arriva a la hauteur du jeune homme qu'il reconnu! Troy, un ami ouf. Il lui frappa dans la main en guise de bonjour et dit:
- Troy! Putin tu tombe bien, je suis complétement paumé!
Super, il tombait sur une connaissance. Pour une fois, il n'aurait pas pu mieux faire. Qui sait? La chance était peut etre avec lui.